
Que représente le marché de la métropole en matière d’incentive pour la Martinique ?
Madeleine de Granmaison – Actuellement, nous pouvons tabler sur un chiffre de 10 % à 15 % sachant que dans ce pourcentage nous comptons les congrès, les séminaires, les voyages d’entreprise et même les visites de groupes sportifs.
Quels sont vos projets pour le tourisme d’affaires ?
M. de G. – Afin de stimuler les voyages d’affaires, nous avons créé un Bureau des congrès et du tourisme, dont l’un des responsables est basé à Paris et l’autre en Martinique. Ils travaillent pour nous en tant que prestataires, en tandem. Sachant que celui qui est sur l’île connaît parfaitement le terrain et peut s’adapter à toutes les demandes émanant de l’Europe, car, aujourd’hui, c’est toute l’Europe qui nous intéresse.
Quelles actions avez-vous développées ?
M. de G. – Bien évidemment, nous faisons de la promotion, nous sommes présents sur le moindre salon, nous allons sortir une nouvelle plaquette beaucoup plus étoffée que la précédente et surtout, nous voulons communiquer sur le fait qu’il n’y a pas, en Martinique, de haute ou de basse saison. Ici, toute l’année le climat est tropical et mis à part la période des cyclones, on peut y pratiquer au choix un tourisme vert, un tourisme balnéaire et même un tourisme culturel…
Guadeloupe, Martinique : une douce France en hiver
Guadeloupe, Martinique: une douce France en hiver
- Madeleine de Grandmaison, présidente du Comité martiniquais du tourisme
Pierre F. Dournaux, président de l’agence réceptive Georges Marie-Gabrielle Voyages à la Guadeloupe