Kyriad a analysé l’évolution du rapport des voyageurs d’affaires français au bleisure, et notamment son évolution depuis la crise sanitaire. Sans surprise, le mélange des genres gagne du terrain, notamment grâce au télétravail.
Par Florian Guillemin -
D'après l'étude publiée par Kyriad plus d’un Français sur deux ont déjà expérimenté un séjour bleisure
Bleisure, Bizcation ou même Tracances (sic) : quelle que soit l’étiquette accolée sur cette pratique visant à prolonger un déplacement professionnel à des fins personnelles, elle est de plus en plus courante. Pour s’en assurer, Kyriad s’est tourné vers OpinionWay pour sonder un millier de personnes en France pendant l’été. Une étude qui mélange différents profils de voyageurs, puisque le seuil de déplacement était fixé à au moins deux nuitées à l’hôtel au cours des quatre dernières années.
D’après les résultats dévoilés le 6 décembre par la marque de Louvre Hotels Group,...
Bleisure, Bizcation ou même Tracances (sic) : quelle que soit l’étiquette accolée sur cette pratique visant à prolonger un déplacement professionnel à des fins personnelles, elle est de plus en plus courante. Pour s’en assurer, Kyriad s’est tourné vers OpinionWay pour sonder un millier de personnes en France pendant l’été. Une étude qui mélange différents profils de voyageurs, puisque le seuil de déplacement était fixé à au moins deux nuitées à l’hôtel au cours des quatre dernières années.
D’après les résultats dévoilés le 6 décembre par la marque de Louvre Hotels Group, la crise sanitaire a contribué à renforcer le phénomène du bleisure. En effet, 20% des sondés confient avoir plus envie qu’avant le Covid de rester quelques jours supplémentaires pour visiter, être en congés et télétravailler. Sans surprise, la possibilité de travailler à distance – découverte ou renforcée pendant la crise – a donc bien donné des envies d’ailleurs aux salariés. Elle les a aussi et surtout amené à les assumer. Ainsi la majorité des sondés (53%) se disent prêts aujourd’hui à demander à leur employeur de leur permettre de profiter d’un déplacement professionnel pour rester sur place plus longtemps en télétravail. Aujourd’hui, la pratique du bleisure aurait déjà été expérimentée par plus d’un Français sur deux, dont 73% de CSP+ de moins de 35 ans. Dans un quart des cas, le bleisure se conjugue même au pluriel, avec son ou sa partenaire.
Organiser un voyage d’affaires… en fonction d’un événement personnel
Si le fait de profiter d’un voyage d’affaires à titre personnel est donc globalement entré dans les mœurs, l’étude Kyriad dévoile un autre paramètre plus étonnant. La moitié des Français (49%) confient avoir déjà planifié un déplacement professionnel en fonction d’un événement personnel. Là aussi, le chiffre grimpe parmi les jeunes générations, pour atteindre 65% chez les plus jeunes actifs.
Pour Daphné Mereuze, Chef de marque Kyriad France, « Ces tendances nous poussent à réinventer l’expérience hôtelière avec des emplacements stratégiques et à offrir non seulement une qualité de confort idéale pour dormir comme pour travailler mais aussi une facilité d’accès aux centres d’intérêt, à la fois proche du centre-ville et du quartier d’affaires, un cadre touristique et des services adaptés au télétravail. De plus, nous avons bien en tête que plus d’un tiers des actifs séjournant à l’hôtel dans le cadre professionnel aurait le souhait de rester plus longtemps pour travailler sur place ».
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