En octobre 2024, ExCeL London aura achevé sa transformation. Ce relooking verra le centre de congrès londonien ajouter 25 000 m² à une surface déjà confortable de 100 000 m². Et ouvrira donc un nouveau champ des possibles aux organisateurs d’événements. Mais ces derniers ne devront pas nécessairement attendre l’inauguration officielle pour projeter leur opération dans les murs du centre de congrès. C’est en tous cas dans cette optique que les responsables de ExCeL London se sont tournés vers le spécialiste OnePlan.
Cette collaboration vient de déboucher sur la mise en ligne d’un avatar numérique du centre des congrès, reproduisant à l’identique l’intégralité de l’infrastructure, y compris son extension vers l’Est. Ce “jumeau numérique” doit ainsi faciliter la prise de décision, mais aussi la communication des organisateurs, qui peuvent ainsi partager des projections personnalisées de leur événement avec leurs partenaires. La version numérique d’ExCeL London doit par ailleurs réduire le nombre de visites sur site, un argument stratégique pour les clients extérieurs au Royaume-Uni.
“Grâce à OnePlan, les organisateurs peuvent désormais disposer d’un « jumeau numérique » de leur espace événementiel, ce qui leur permet non seulement de mieux planifier, mais aussi d’optimiser des éléments tels que les flux d’entrée et de sortie et l’emplacement de la signalisation et des activités de parrainage” assure le directeur exécutif d’ExCeL, James Rees, qui y voit également “un outil de vente et de marketing”. « Nous savons aussi par expérience que les visites de sites en personne, en particulier pour ceux qui se trouvent en dehors du Royaume-Uni, peuvent être coûteuses, longues et lourdes en termes d’émissions carbone ; c’est pourquoi nous pensons que le fait d’afficher ExCeL sur leurs écrans en cliquant sur un bouton aura un impact réel. En tant que site neutre en carbone, l’utilisation de OnePlan s’aligne parfaitement avec notre nouvelle stratégie ESG et nos ambitions d’être Net Zero d’ici 2030, tout en répondant à l’intérêt croissant que nous recevons de la part d’organisateurs et de parties prenantes internationaux » poursuit James Rees.