Dans un contexte de normalisation après la longue parenthèse Covid, quel regard les professionnels portent-ils sur le bureau ? Après avoir été la règle, comment est perçu un télétravail qui occupe désormais une place à géométrie variable selon les organisations ? Voilà quelques-unes des questions abordées par Comet à travers sa nouvelle étude publiée le 7 septembre. Le spécialiste des espaces de travail hybride, présent à Paris, Bruxelles et Madrid a sondé ses trois marchés pour connaître l’état d’esprit des salariés.
Il ressort notamment de cette enquête...
Dans un contexte de normalisation après la longue parenthèse Covid, quel regard les professionnels portent-ils sur le bureau ? Après avoir été la règle, comment est perçu un télétravail qui occupe désormais une place à géométrie variable selon les organisations ? Voilà quelques-unes des questions abordées par Comet à travers sa nouvelle étude publiée le 7 septembre. Le spécialiste des espaces de travail hybride, présent à Paris, Bruxelles et Madrid a sondé ses trois marchés pour connaître l’état d’esprit des salariés.
Il ressort notamment de cette enquête un retour en force de la réunion. D’après Comet, une majorité des professionnels Français (62%), plébisciteraient aujourd’hui l’utilité des réunions dans un cadre professionnel. Le chiffre atteint 63% en Belgique et même près de 80% en Espagne. A titre comparatif, en juillet 2022, 86% des sondés indiquaient être confrontés à des réunions ne se révélant pas toujours utiles d’après Comet.
Quant au rapport des salariés à leur cadre de travail, qu’il s’agisse du bureau, du home office ou des tiers lieux, les avis restent partagés. Pour autant, le télétravail semble perdre du terrain par rapport à un bureau “digne de ce nom”. Ce que les professionnels recherchent avant tout en se rendant au bureau, c’est l’interaction avec leurs collègues (38%). Des équipements ad hoc penchent aussi en faveur des locaux professionnels (34%). Après l’expérience du tout-télétravail rendue nécessaire par la crise sanitaire, le bilan est désormais mitigé. Ainsi, 39% des sondés estiment aujourd’hui que le travail seul et à distance peut nuire à leur épanouissement personnel. La moyenne atteint même 45% chez les hommes d’après Comet.