
La marque lifestyle de Marriott Moxy poursuit son essor en France. Après Lille récemment et Paris il y a de cela quelque temps déjà – à la Bastille et à Roissy-CDG -, l’enseigne ajoute une nouvelle adresse à Bordeaux. Pour l’occasion, cette enseigne vivante et design a trouvée une situation à son image, les Bassins à Flot. Proche de la Cité du Vin, cette ancienne zone portuaire est en pleine revitalisation, les 133 chambres de l’hôtel ayant vue sur cette mutation. Selon leur préférence, les clients peuvent en effet choisir entre le panorama du port ou celui des bassins – voire le jardin -, les résidents des cinq chambres en rooftop ayant en plus le privilège d’une terrasse panoramique de 26m2.
Le Moxy Bordeaux décline les fondamentaux de la marque avec des chambres à l’espace optimisé, mais avec literie haut de gamme et douche à l’italienne. Sa dimension pratique pour les voyages d’affaires est également présente avec une buanderie commune où donner un coup de fer à ses vêtements avant un rendez-vous et des frigos où trouver à toute heure du jour et de la nuit une offre de snacking, plats et boissons.
Pour autant, tout en étant fonctionnel, l’hôtel se conçoit avant tout comme un lieu animé gravitant autour d’un bar où se détendre autour d’un cocktail, d’un verre de vin – Bordeaux oblige – ou d’une bière Mira, de la région. Le tout peut venir accompagner les spécialités proposées comme le burger végétarien ou le « hot duck », version bordelaise du hot dog. La déco du lieu s’appuie également sur le savoir faire local, le Moxy ayant fait appel notamment à la street artist Beatoa, à la maison de création landaise Woodstach pour les tabourets, ou à l’artisan Shoodrik, présent sur l’île de Ré, pour les lampes conçues à partir de vélos recyclés.
C’est donc une ambiance contemporaine et décontractée que les clients pourront apprécier dans le lobby, proposant là un coin canapé bibliothèque, là encore des tables d’hôtes, mais aussi des banquettes centrales pour des rencontres informelles et un espace de travail isolé. Aux beaux jours, les voyageurs pourront s’installer sur la terrasse dessinée par les paysagistes François Neveux et Bernard Rouyer. Sorte d’oasis urbaine baptisée, ce « jardin des silos » s’inscrit dans la mémoire industrielle et portuaire des Bassins à Flot, puisqu’il entoure d’anciens silos à grains.
Renaissance des Bassins à Flot
Hauts de 35 mètres, deux de ces anciens silos se voient d’ailleurs totalement convertis à la nouvelle histoire hôtelière du lieu, puisque intégrés à l’hôtel Renaissance. Un autre nouvel hôtel du groupe Marriott qui partage son jardin avec le Moxy et ouvrira ses portes le 7 juin. Tandis que le premier silo fait figure de sas entre l’extérieur et l’intérieur, le deuxième ouvre sur le lobby et plonge le visiteur dans un décor conçu par l’architecte d’intérieur Michael Malapert. Un hôtel dont l’esprit arty se remarque dès l’accès au second silo avec ces points dorés évoquant les grains conservés là, œuvre d’Alix Waline tout comme le triptyque décorant la galerie de liaison menant au lobby et certaines œuvres dans les chambres.
L’hôtel haut de gamme de 149 chambres se distingue aussi, et surtout, par son neuvième et dernier étage avec ses terrasses et sa vue panoramique sur les ponts d’Aquitaine et Chaban Delmas ou la Cité du Vin, toute proche. Là, les clients de l’hôtel trouveront une piscine telle un « bassin suspendu » dans les airs, mais avec une ambiance bord de mer que décline aussi la décoration du bar à cocktail, inspirée des cabanes du bassin d’Arcachon. Un lieu animé jusqu’à tard dans la nuit, et qui met le Spritz à l’honneur. De quoi se mettre dans une ambiance italienne avant d’aller dîner au restaurant Gina, trattoria chic et décontractée avec sa carte d’antipasti et de pizzas.
Propice à la détente, le Renaissance est aussi paré pour les rencontres d’affaires. Facilement accessible depuis l’aéroport de Bordeaux-Mérignac comme de la gare Saint-Jean, voisin de la Cité du Vin, l’établissement propose quatre salles de réunion ouvertes sur l’extérieur. Trois d’entre elles sont au rez-de-chaussée et peuvent se transformer en plénière de 258 m2, le tout ayant le privilège d’être prolongé par une terrasse privée de 170 m2. Plus exclusive, la dernière salle, de 50 m2, est située au dernière étage sur le toit de l’hôtel. L’hôtel se prête aussi au travail nomade dans sa bibliothèque et son caffè shop donnant sur le jardin.